The Tchaikovsky was balanced at the other end of the program by Rachmaninov’s Symphony No 2, in an expansive reading by Bringuier. The conductor unspooled Rachmaninov’s long-breathed melodies with an eye for the big picture, carefully building the first movement to the storm of swirling strings and thundering brass and percussion at its climax. The Scherzo, infused with the darkness of the Dies irae chant, sparkled with horns and racing strings, while the slow movement was achingly romantic, Bringuier once again deftly pacing the climaxes, before dispatching a celebratory finale. Limelight Magazine
2019
Bringuier unleashed the full might of the orchestra in the tuttis, and there was never a hint that the pianist might be overpowered – if anything it felt at times that the orchestra was pushing to match his volume and intensity. Limelight Magazine
2019
Lionel Bringuier was a sensitive partner during the concerto and led an invigorated reading by the SSO of Rachmaninoff’s Symphony No. 2 in E minor, with woodwind and horn solos of richly-coloured clarity. The Sydney Morning Herald
2019
«Bringuier ne cherche pas le message, le grand geste ou l'originalité : il construit, il guide, il dirige tout en sachant laisser les musiciens s'exprimer. Il fait tenir l'édifice debout en s'attachant aux fondations – splendides cordes graves articulées, puissantes et vives –, et aux couleurs – vents alertes et libres de chanter en prenant des risques toujours assumés». Thomas Schacher / Neue Zürcher Zeitung
2018
«Bringuier ne cherche pas le message, le grand geste ou l'originalité : il construit, il guide, il dirige tout en sachant laisser les musiciens s'exprimer. Il fait tenir l'édifice debout en s'attachant aux fondations – splendides cordes graves articulées, puissantes et vives –, et aux couleurs – vents alertes et libres de chanter en prenant des risques toujours assumés». Alain Lompech / Bachtrack
2018
«Son ouverture à tous les répertoires, son goût pour la création contemporaine - renforcé par son expérience auprès d'Esa-Pekka Salonen - font de Lionel Bringuier un chef « tout-terrain » précis et stylé. À la tête de l'Orchestre de la Tonhalle depuis 2014 dont il salue « l'opulence sonore, la rigueur, l'incroyable préparation », il excelle dans les grandes pages du romantisme germanique comme dans les transparences sensuelles de la musique française». Emmanuelle Giuliani / La Croix
2018
«Dire que l’orchestre a entièrement réalisé l’intention qu’avait Schmitt avec cette œuvre c’est minimiser son accomplissement impressionnant. Allant d’une “Danse des perles” vivace à une “Danse de terreur” excitante, Bringuier a su créer une interprétation éblouissante qui dépassa une simple bonne lecture de la partition pour devenir quelque chose d’extraordinaire». The Plain Dealer
2015
«La Tonhalle de Zürich a un nouveau directeur musical de 27 ans qui a la capacité d’exciter et d’étonner, et qui promet de placer Zürich sur la carte orchestrale internationale d’une façon notable». Los Angeles Times
2014
«Ce n’est pas souvent qu’un Chef d’orchestre de n’importe quel âge réussit à faire ressortir les éléments les plus musicalement audacieux d’une œuvre qui emballe autant les foules que L’Apprenti sorcier de Dukas ». New York Times
2013
«Capuçon et le Chef d’orchestre Lionel Bringuier en ont fait une structure mélodieuse et bien équilibrée, guidée à tout moment par la logique de la ligne mélodique». Sydney Morning Herald
2013
«Un concert incroyable…dirigé par un Chef d’orchestre qui dirigera les plus grands orchestres du monde pendant encore longtemps». Gramophone
2013
«Mais l’effort le plus impressionnant de Bringuier était encore en devenir, prenant la forme de la suite de L’Oiseau de feu de Tchaïkovski, 1919. Ici, le Chef d’orchestre est même allé au-delà de son propre travail avec le ballet Roussel, en dirigeant un concert fort sur tous les points de vus techniques mais aussi alimenté par cette composante chimique des plus rares». Cleveland Plain Dealer
2012
«Bringuier accorda beaucoup d’attention aux choses subtiles dans ces œuvres, s’efforça de faire en sorte qu’un pianissimo – et peu de Chef d’orchestre ont obtenu des pianissimi aussi authentique de la BSO qu’il ne la fait vendredi—soit aussi vivace et fort de sens qu’une explosion totale de force orchestrale». Baltimore Sun
2012
«Bringuier émet une autorité naturelle à laquelle s’ajoute une compréhension musicale profonde». Standpoint Magazine
2012
«Un talent naturel dont les bons instincts sont renforcés par un bon goût, cumulé à une technique parfaitement maîtrisée. Et contrairement à ces enfants prodiges du passé et du présent, pour qui l’éclat personnel a plus de valeur que la substance artistique, il sait prendre du recul et laisser la musique se mettre en valeur». Financial Times
2010
«Bringuier a su jouer avec les couleurs, créer des contrastes marqués et diriger avec une propulsion incroyable et convaincante…L’orchestre a joué comme s’il était sur des charbons ardents, avec l’excitation et l’électricité d’une musique familière, contrainte de retentir de manière originale. Bringuier a sauvé la mise». Los Angeles Times
2010
«Bringuier et les musiciens ont transmis l’esprit et la lettre de la musique avec une assurance aisée. La suite de Daphnis, avec sa prolifération amazonienne d’idées essentielles et complexes, a été formée par une certitude de direction qui n’a jamais compromis la sensualité inhérente de la musique». The Guardian
2010
«Il est toujours risqué d’affirmer de quelqu’un, dans n’importe quel domaine, qu’il n’est pas à rater, mais ce n’est pas risqué de le faire dans ce cas-ci». New York Sun
2008